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. Cornelius De Koopa .
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. Cornelius De Koopa . 1493313850016721600

✠ Nom : De Koopa.
✠ Prénom : Cornelius.
✠ Âge : 14 ans et toutes mes dents.
✠ Race : Koopa Alpha
✠ Camp : Neutre. Je ne suis pas une charité sur pattes, mais je suis encore loin d'être le maître des ténèbres ou je ne sais quoi.
✠ Genre : Je suis un gentilhomme, voyons.
✠ Groupe : Little People


Miroir, mon beau miroir..

Ahahah.. Mon physique. Bien, bien. C'est une question quelque peu personnelle, et on a tous plus ou moins du mal à y répondre, donc pardonnez moi si j'enjolive la vérité quelque peu. Tout d'abord, je suis de taille moyenne, voire un peu en dessous. Il faudrait que je perde quelques kilos, aussi.. Euhm, bon. Eh bien, j'ai des cheveux couleur corbeau, avec de très jolis reflets mauves, si je puis me permettre. Ils sont bien brossés, sans nœuds, possèdent de légères ondulations et sont joliment attachés en queue de cheval.

Je porte aussi un nœud en soie rose autour du cou. Très classe, très doux. Ma carapace est de la même teinte, car voyez-vous, je choisis mes garnements avec précaution. Il faut avoir l'air présentable; trop de couleurs tuent les couleurs. J'ai de jolis yeux roses pastel. Malheureusement, ils sont.. quelques peu spéciaux ? Ils forment une spirale que je n'apprécie guère. Elle ne me donne pas l'apparence sérieuse et posée que j'aimerais avoir.

(j'avoue ne pas tout le temps être aussi posé qu'ici. que voulez vous, il arrive qu'on puisse être passionné.)

Ah, un autre détail embarrassant.. Mes dents. Elles sont.. Enfin.. Avez vous déjà vu les dents d'un serpent ? J'ai à peu près pareil, niveau crocs. Elle me donnent l'air d'un ahuri; elles dépassent bêtement de là où elles devraient se trouver soigneusement rangées.

Je tiens aussi à ajouter que je me déplace et parle avec classe. Il m'arrive d'avoir des petits "breaks".. Mais ce n'est qu'assez rare. Un détail à noter est que je traîne souvent sur mes "s", les faisant durer plus longtemps que nécessaire. Et cela s'empire quand je perds mes moyens, ahah. Bien. Vous pouvez disposer.  



Je n'ai pas de citation spirituelle.

Hm. Je vais essayer de vous donner une analyse approfondie..

Ma nature de base est calme, réfléchie, quelque peu manipulatrice quand la situation le demande, impassible et froide. Cela ne veut pas dire que je suis une terrible personne, non, non ! J'apprécie l'humour, et.. Les sucreries. Je suis gentil, je vous le promet. J'avouerai que je m'emporte un peu vite, mais cela dépend de l'intelligence des propos de mon adversaire.

Euhm... Oui. Je suis gentil. Je ne peux pas vous promettre que je serai des plus respectueux - je suis de nature taquine, mais mon sens de la justice reste intact. Pour les gens que j'estime, évidemment.. Par contre, ma loyauté est assez dure à gagner. A peu près aussi dur que d'enlever le nuage à ces fichus Lakitus.. J'en ai deux empaillés sur ma cheminée, tiens.

Mais je suppose que vous vous en fichez, vous voulez les détails et ragots croustillants.. Eh bien, chers spectateurs, sachez déjà que je suis victime de sautes d'humeur assez violentes. Je boude assez rapidement, et mon image sérieuse et classe s'envole aussi vite qu'une plume sur le trottoir.

Voyez vous, il y a des moments ou je me mettrais à rire comme un maniaque et faire des mouvements brusques, pour une raison qui m’échappe. Je deviendrais alors.. Le contraire de mon idéal. Illogique, direct et pressé, incompréhensible, voire même épileptique. Je suis ingérable dans ces moments. Heureusement pour moi (et mon honneur), ces moments ne durent pas longtemps, généralement. Détail important, ces "phases" sont souvent provoquées par une discussion pleine d'entrain à propos de sujets qui me passionnent.

Je crois que c'est tout. De toute façon, ce n'est pas écrit "psychologue" sur mon front. Le reste, ce sera à vous de le découvrir..



Pouvoirs & Compétences

La plume est plus forte que l'épée. Mais, je vais m'obliger à vous faire une petite liste de tout ce que je peux faire.

Cracher des boules de glace. (Pour garder l'haleine fraîche.) Ça, c'est un trait que beaucoup de gens de mon espèce partagent. Pas très original.

De la télékinésie. Ma famille est riche, et on m'a mis une baguette magique dans les mains dès mon plus jeune âge. Elle a dû payer une somme phénoménale à je ne sais quel Magic Koopa pour l'obtenir..

Mais ma télékinésie n'est pas très forte. Je peux soulever environ tout ce qui fais moins de 10 kilos, et de la taille d'une table à peu près.

Les illusions. Je ne maîtrise pas encore complètement cet aptitude, mais elle est très intéressante. Tout est possible grâce à ma baguette. Par exemple, je peux assombrir une pièce, grossir un objet, faire raisonner une voix, faire disparaître quelque chose, tout ça dans votre tête.

Par contre, je suis encore incapable de faire disparaître vos mains et détruire l'univers, donc j'ai encore du travail.



Histoire

Tout a commencé il y a dix-sept ans, quand une Koopa Alpha sublime aux yeux qui vous feraient frissonner, du style patronne, rencontra par hasard un autre Koopa Alpha, perdu et à la crinière onduleuse et saillante.

Il était en vacances, de passage au Royaume Champignon, pour prendre une pause de son business familial qui était un échec grandiose. Elle, en revanche, était en voyage d'affaire pour négocier avec une boutique Toad reconnue, et l'a croisé dans le rayon pantalon, gêné de ne pas réussir à enfiler celui qui lui plaisait. Leur rencontre était totalement inattendue. S'en suivit des discussions passionnées, et ce fut le coup de foudre.

Elle était charismatique, trait qui était totalement inexistant chez lui, et il était maladroit et involontairement drôle, chose qu'elle ne voyait que très rarement à cause de son environnement strict et sérieux. Quelques années plus tard, et elle avait quitté son entreprise pour aller aider son bien-aimé avec son business de famille. Elle le géra tellement bien que la courbe des finances s'inversa - ils devinrent riches, et finirent par se marier. Entre temps, ils s'étaient installés dans un énorme manoir non loin du Royaume Champignon, entouré de plaines et forêts. Il était magnifique. D'un ton blanc royal, il était bien décoré et orné. Beaucoup de chambres, dont la chambre des futurs enfants, dottée d'un balcon avec des colonnes, et une fontaine dans le hall. Tout était parfait. Ils avaient même embauché des majordomes et secrétaires, étant très occupés à cause du travail.

Cela ne surprit évidemment personne, mais quelques temps après, deux jeunes Koopas Alpha furent nés de leur amour charnel. Deux petits anges jumeaux, pottelés et mignons à souhait. L'un était dotté d'une chevelure prune (c'était moi), et l'autre d'une crinière blanc cassé. Leurs noms étaient, évidemment, Cornelius, et Aster. Ils furent élevés strictement, mais avec des aisances que seuls des enfants riches auront la chance de connaître. Bonne cuisine, tous les jouets qu'ils voulaient, lits confortables et histoire avant d'aller se coucher.. Mais aucune richesse ne remplace l'amour familial. Leurs parents étaient très occupés à travailler et à gagner encore plus d'argent, donc leur éducation était faite par les servants.

Peu à peu, leur traits de caractères en plus de leur coiffures ont poussé les gens à les considérer comme opposés. Sortons un peu de la narration à la troisième personne, pour plus de détails. De mon côté je m'intéressais à la littérature, aux jeux psychologiques et à la cuisine. Mon frère, lui, préférait courir partout dans la maison, jouer aux Légos, et les jeux vidéos. C'était un vrai démon, il avait des soucis pour contrôler sa colère et les meubles finissaient généralement en morceaux. Moi, au contraire, j'étais sage comme une image.

J'étais ce qu'on pourrait qualifier.. de.. du préféré, oui. Mais j'aimais mon frère énormément, même si les gens le considéraient comme un ahuri attardé mentalement. Il avait un génie caché que seules les personnes qu'il considérait comme ses proches pouvaient déceler.

Mais l'injustice continua. Pendant qu'on m'avait envoyé dans l'école primaire la plus prestigieuse du royaume, il resta seul à la maison, sa seule compagnie étant les majordomes et la nourrice engagée pour le surveiller durant ses crises. On ne le laissait pas sortir souvent, il ne devait pas être vu du monde extérieur. Ne surtout pas ruiner notre réputation. Il en devenait fou. Fou de tristesse, surtout. Il pleurait presque tous les jours, mais le moi du passé, gêné et confus, essayait de l'ignorer. Je passais le temps en lisant et écrivant sur l'injustice familiale. Je lui faisais lire, mais il ne devait pas comprendre grand chose, le bougre.

Mes parents avaient autre chose à faire que de lire mes recueils, et mes majordomes ne donnaient que des avis hypocrites. J'étais, entre autres, seul, et incompris. L'adolescence marqua un changement dans ma vie. La crise qu'on fait tous dans cette période empira l'état de mon cher frère, plus qu'il ne me changea moi. Il se cachait sous ses couettes, refusait de manger, ses crises de colères se transformaient en crises de larmes, et son attitude impulsive et bête s'était transformée en comportement vide et discret. Il s'excusait tout le temps, mais mes parents ne firent pas mine de le remarquer.

Pendant ce temps, j'étais au collège, ayant sauté plusieurs classes, et ayant donc plus de travail. Je n'avais plus le temps pour lui. Mais le côté positif des choses, c'est que ça me gardait les idées en place. J'arrivais à être concentré, j'avais un bute dans la vie, je voulais faire de la littérature, et une fois que j'aurais été connu, je me serais acheté une résidence, une maison, n'importe quoi, j'y aurais emmené mon frère, et nous y aurions vécu ensemble, joyeusement, calmement. Que j'étais innocent. Ca me rendrait presque nostalgique..

Malheureusement, mes songes furent coupés courts. L'évènement le plus marquant de ma jeunesse arriva. Fatidique. Tragique, même. Aster était mort. Ce n'était pas un suicide. Je savais qu'il aimait vivre, qu'il essayait, qu'il voulait y arriver. Mais une de ses crises de panique était devenue trop violente. En essayant de prendre des bouffées d'air frais au balcon, il s'y était précipité trop rapidement, et glissant sur un légo, se défonca horriblement le crâne sur le sol en tombant du balcon. J'étais le premier à l'avoir remarqué. Notre balcon donne directement au devant de la demeure, qui est l'herbe des collines. Je rentrais donc de mes cours, et je fus accueilli par ce que je croyais être mon frère endormi. Mais j'ai manqué de m'étouffer avec ma salive quand je vis que le côté gauche de sa tête était entièrement recouvert de rouge, de marron, de pourpre, et je ne voulais pas y croire, ce n'est que dans les films, mais ma vie a défilé devant mes yeux, j'ai vu tout blanc, puis tout noir, puis soudainement, cette odeur se fit présente, plus présente que jamais, et je n'oublierai jamais la façon dont ma gorge s'est tordue quand mes narines ont overdosé de cette horrible odeur. L'herbe était rouge, comment n'avais-je pas remarqué, je suis con, trop con, il est mort, il est mort, c'est leur faute, c'est ma faute. Je me souviens avoir pensé quelque chose comme ça. J'étais paniqué. Je crois, je ne me souviens plus bien, ça remonte. Ca, c'est ce que je dirais si je voulais faire mon intéressant. La dure vérité, c'est que je m'en souviens trop bien, et même si ça ne me fait ni chaud ni froid d'y penser juste comme ça, quand je plonge en profondeur, je ne peux m'empêcher de devenir tense.

Je n'imagine même pas la tête que j'ai dû faire, ahah. Je suis tombé à genoux, je l'ai soulevé, puis lâché; son crâne était éclaté et je n'osais pas regarder. Je me suis senti comme la pire créature a avoir jamais existé. Je n'ai pas perdu de temps à crier les ô si célèbres "reviens !!! dis quelque chose..". Je savais qu'il était mort. Il fallait vivre avec. Et il fallait vivre avec le dégoût contre mes parents avec. C'était de leur faute.. Ils savaient. Ils savaient ! Il avait des problèmes, il fallait qu'il soit accompagné, et.. et.. ils l'ont enfermé dans la chambre. Je me souviens avoir passé quelques minutes à le regarder fixement, il me parlait, et le monde bougeait, je toussais, ou vomissais, je ne sais plus. J'attrapais ses cheveux, je pleurais, mais je ne savais pas pourquoi. Tous mes problèmes me revenaient et me sautaient au visage, me griffaient et me frôlaient de leur doigts crissants et horribles. Il était ma seule source de détente, d'amour, de rigolade, de compréhension, de tout.

Dans les moments tristes, on a tendance à accumuler avec les autres choses légèrement moins triste qui sont arrivées récemment. C'est ce que j'ai fait. Et pendant un moment, je pleurais honnêtement. Puis je me suis mis en colère. Je ne sais plus exactement ce que j'ai fait, mais j'ai crié, j'ai griffé son corps, j'ai tiré mes cheveux, j'ai hurlé. Et enfin, je suis resté, sans expression, à le regarder. La boule dans ma gorge se fit encore plus présente, j'ai cru qu'elle allait transpercer ma nuque. Je l'ai enterré moi même. Je ne l'ai même pas dit à mes parents, mais ils ont remarqué sa disparition, et pour une fois, j'étais heureux de les voir triste et désespérés, anéantis, comme mon frère l'était au cours de sa vie. Je ne leur ai même pas dit qu'il était mort, mais la tâche de sang devant le pallier a dû leur donner une indication.

Je ne leur adressais plus la parole, et je n'allais même plus au collège. Je passais mes journées à écrire sur mon dégoût et ce vide omniprésent dans ma vie, à revivre la mort de mon frère. Comme ces poètes qui croient que leur vie est dure et romantisent la douleur. Je haïssais le monde. J'étais une bombe à émotion, contrairement à maintenant. Je suis difficile à impressionner et mon empathie manque à l'appel. Je me suis endurci, cet évènement m'a appris à prendre du recul, à prendre des décisions intelligentes. Il m'a forcé à grandir intérieurement. J'ai réussi à dompter mes émotions, et la mort de mon frère ne me dérange plus tant que ça : il est mieux où il est. Il sait que je l'aime. Je suis mature, maintenant, mais je n'y serai jamais arrivé sans ce traumatisme. Je détesterai le revivre, mais j'aime la situation où il m'a amené. Bien sûr, cela ne veut pas dire que je suis content que mon frère soit mort. J'étriperai le premier qui l'insulte, lui ou son décès. Ses conditions de vie me mettent aussi très en colère. D'ailleurs, mes moments ou je "pète un câble", et devient plein de spasmes, maniaque, et bizarre, sont des moments ou mes émotions refoulées m'échappent. Je m'excuse d'avance. Mais, mon histoire ne s'arrête pas là.

Lorsque mes poèmes et textes me lassèrent, je passais beaucoup de temps à réfléchir. Sur ma vie, sur mon frère, sur mes sentiments. Et je compris quelque chose. Ma rage aveugle m'avait laissé. Je n'étais même plus en colère contre mes parents : je savais juste qu'ils étaient d'horribles personnes. De mon point de vue, du moins. C'est d'ailleurs à cet instant précis de ma vie que ma "transition" se passa. Les émotions folles partirent et laissèrent place à du froid, du réfléchi, de la logique.

C'est à ce moment que j'eu une idée. J'allais faire se retourner le peuple voisin contre mes parents, la plus riche famille. J'exposais des secrets embarassants, qu'on voulait cacher, propageait de fausses rumeurs, et finit par cracher le morceau sur l'abus familial d'Aster. Avec mes poèmes de propagande, je pus réunir en secret une petite armée. Ils organisaient régulièrement des sabotages des travaux de mes parents, de leur résidence. Mais ce n'était pas assez.

De mon côté, je finissais de leur raconter des vérités hors contexte, des bobards inutiles, des faits douteux sur eux. Bientôt, leur rage fut aussi ardente que la mienne à la vue de mon frère défunt. Ils lui firent même un hommage, ce que je n'apprécie pas le moins du monde. Je n'aime pas que de simple classes moyennes s'approprient le nom de ma fratrie comme s'il s'agissait d'un simple goomba sur le chemin. Mais je fis avec. Je mis mes sentiments de côté.

Ils firent exactement ce que je voulais, j'avais prévu. J'avais fait mine d'aller en balade, laissant la porte du manoir ouvert. Je savais ce qui allait se passer. Aucune surprise. J'entendais la cacophonie de la colline ou j'étais. Quand je me suis décidé à rentrer, après avoir tranquillement regardé mon père se faire jeter du même balcon que mon frère, je me mis à chercher ma mère. Ouch. Sa tête décapitée était gelée dans un bloc de glace, qui brûlait tranquillement dans la cheminée. Son corps avait été balancé dans la fontaine, à côté de celui d'un majordome, probablement mort en essayant de la protéger. L'eau était tintée d'un rouge familier.

Quand je vis cela, mon coeur se pinça. Pas de la même façon qu'avec mon frère, pas de cette façon envahissante, engouffrante. J'étais à la fois satisfait, à la fois détruit. Je venais de ruiner ma vie, et tous mes contacts. Mais justice était faite. Je caressai doucement la main de ma mère, soupirant.

"Je suis désolé."

Je ne l'était pas.

Ou alors c'est ce que j'essayais de me redire, ne voulant pas croire que la sensation oppressant mon cœur soit du regret.

A ce jour, j'ai repris le "business" familial. Le manoir est nettoyé, j'ai calmé le peuple. Les majordomes sont à mon service, je joue aux échecs tout seul, et par moment, j'entends des voix. J'entends des plaintes, et je me dis que ma famille a été un échec monumental. Elle a commencé de façon si douce, si tendre, pour finir de façon si tranchante et tragique. Elle m'a laissé indifférent, mais différent. Au lieu d'avoir une personnalité mélodique et prodigieuse, comme j'aurais dû avoir, elle m'a laissé partagé. D'un côté, le moi indifférent, qui fait avec ce que la vie lui donne et ne sera jamais choqué, de l'autre, mes sentiments enfermés, ma rage, mes hallucinations, ma tristesse, mon instabilité, mon impulsivité, ma peur.

A ce jour, je continue d'écrire des poèmes et textes.

A ce jour, je ne compte plus m'acheter une maison pour vivre avec mon frère.

Je n'ai que moi, et moi seul.

(NE VOUS INQUIETEZ PAS, IL N'EST PAS SI EDGY QUE CA JE VOUS JURE IL EST MÊME DRÔLE MFMFMF)



Autres détails et carabistouilles.

✠ J'aime les échecs, je prends grand plaisir à y jouer. Pas de ma faute si je suis un cliché sur pattes.
✠ Je rafole de chou rouge. C'est SUCC-U-LENT.
✠ J'aime beaucoup les fraises tagada.
✠ "D'ailleurs, mes moments ou je "pète un câble", et devient plein de spasmes, maniaque, et bizarre, sont des moments ou mes émotions refoulées m'échappent. Je m'excuse d'avance."
✠ Je suis un grand poète, écrivain, et lecteur. (note de tictac : non ses poèmes sont vraiment nuls. c'est le JUL de la littérature. on te considère bizarre si tu l'aimes et la grande majorité se fout de lui.)
✠ Je suis mysophobe. Je hais la poussière.






QUI SE CACHE DERRIERE CORNELIUS OLALA


☆彡 Pseudo ? tictac / lumië
☆彡 Âge ? 13.
☆彡 Fille ou garçon ? Demigender nan0boy foxkin. (fille)
☆彡 Pour vous Mario est ? Un communiste en surpoids.
☆彡 Comment as tu connu le forum ? Je n'aime pas cette question.
☆彡 Ton avis sur le forum ? Je sais pas. D: Il est joli, même si l'icon "No New" de Waluigi me fout les jetons dès que je la vois.
☆彡 Une dernière chose à dire ? CARABISTOUILLE




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30.04.17 8:43
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Bienvenue. :3
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30.04.17 13:55
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Merchi !
(c'est pas mon premier compte, mais j'avais déserté, à l'époque.. xDD)
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30.04.17 14:08
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Peachy-Hime
Jolie fiche, perso je trouve vraiment sympa ! Hâte de le voir en rp et bien sûr tu es validée ;).


. Cornelius De Koopa . 1568389861-princess-peach-sign
Peachy-Hime
Peachy-Hime
Queen of Mushroom Kingdom ~♡
Messages : 17468
Pièces : 7710
Faction : Aucune
https://rpg-mk.forumactif.com
30.04.17 15:19
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Yesss !!! Merci ;__;
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30.04.17 15:34
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Bon retour sur MK miss 8D
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30.04.17 15:49
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Merci 8D
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30.04.17 15:52
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